Tout le monde connaît la boisson énergisante Red Bull, non pas pour en avoir forcément goûté mais parce que l’entreprise qui gère cette marque a fait des efforts financiers considérables en terme de publicité pour promouvoir sa marque. C’est ainsi que Red Bull a donné son nom à des équipes sportives un peu partout dans le monde, sans oublier également une prestigieuse écurie de formule 1.

Intéressons nous maintenant plus particulièrement à la composition de cette boisson qui n’a pas manqué de créer la polémique dans de nombreux pays. L’ingrédient qui cristallise toutes les critiques est la taurine, une substance extraite des testicules de taureau. Le manque de recul concernant les conséquences de son absorption ont poussé une partie de l’Europe (France, Norvège, Danemark,…) à l’interdire dans un premier temps. La France a finalement autorisé sa commercialisation en 2008.

En Tchétchénie la boisson Red Bull est de nouveau sous les feux des projecteurs d’après le quotidien britannique « The Guardian ». Rukman Bartiyev, ministre en charge de la santé, l’a en effet déclarée comme étant anti-Islam et qu’elle serait soumise aux mêmes restrictions que les boissons alcoolisées.

Une chose importante à vous préciser, si le ministre indique que la boisson est anti-Islam, cela ne signifie pas pour autant qu’elle sera bannie de Tchétchénie. En effet elle sera simplement interdite au moins de 18 ans, ce qui est totalement incohérent lorsque l’on prend l’Islam comme référence…