C’est en tous cas ce qu’affirme Ala’a Gafouri, fondateur du Halal Institute of Food Management Industry (HIFMI) qui travaille entre autre à la formation des sacrificateurs et des contrôleurs. Il déplore la multiplication des organismes de certification et surtout leur manque de transparence. Ce marché prend de plus en plus d’ampleur et on peut donc comprendre que cela attire des acteurs peu scrupuleux qui ont bien peu de considération pour le caractère licite et illicite de la viande chez les musulmans.

Tout le monde est d’accord pour qu’une certification unique soit mise en place mais paradoxalement ce sont ces mêmes personnes qui travaillent chacun de leur coté. Nous ne sommes donc pas près de voir une solution émerger au milieu de cet univers totalement opaque aux yeux des consommateurs.